........................habillement de la noblesse au 17e siècle................


Pour cet article mes recherches se sont portées principalement sur des écrits et des gravures du 16e et 17e et 19e siècle.  

J-A Beaucé 1854
Loin des hivers rigoureux de la vieille France, les dames de la noblesse qui accompagnaient leurs maris dans les colonies laissèrent bien vite dans le fond de leur armoire, toute la gamme de tissus et autres accessoires qui composaient leurs tenues vestimentaires.


La coiffure féminine au début du 17e siècle était composée principalement d’une frange de cheveux appelée la garcette, et de deux bouffons crêpés sur les oreilles, le reste des cheveux étant nattés et enroulés en chignon à l’arrière de la tête.
the complète costumes history
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 Pour les autres parties du corps, il en était tout autre. Des sous-vêtements féminins dignes d'être présentés dans un musée spécialisé dans les objets de torture (toute proportion gardée).







Le corps de cotte ou corsage à baleine est pour la plupart mis en forme par de fines baguettes d'osier. Et comme cela ne suffisait pas, il y avait par-dessus ces carcans de soie, une chemise en satin ou en futaine (étoffe pelucheuse dont la chaîne est en fil et la trame en coton), la chemise pouvait aussi être de coton de toile ou de chanvre.


Je n'ose imaginer la chaleur qui régnait sous un tel affublement, pour celles qui s'obstinaient à conserver un tel appareillage sous trente degrés.
J-A Beaucé 1854
J-A Beaucé 1854
J-A Beaucé 1854


Les femmes de condition aisée portaient sous leur robe trois jupons superposés, trois jupes qui possédaient un nom, la discrète, la friponne, la secrète.

Jacques Callot 1592-1635
Jacques Callot 1592-1635


La discrète couvrait les deux autres, les cachait, les annonçait, les mettait en valeur dans une progression, qui était faite pour attiser le regard des bons hommes. Qui accédait à la secrète devenait le roi du jardin caché de la dame.
Très vite les femmes qui étaient sur les îles adoptaient une tenue beaucoup plus appropriée à la température extérieure, qu'elles soient issues de la noblesse ou du peuple.
Howard Pyle
Howard Pyle
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 Les sous-vêtements, la culotte ou petite culotte ne fît son apparition qu'au 19e siècle! C'est donc les fesses à l'air que les femmes, comme les hommes, déambulaient sous de larges vêtements.


J'espère que ce petit article vous aura aidera sur le choix des costumes, que ce soit pour la pièce de théâtre "Ce bon vieux D'Jim" ou toute autre comédie sur la flibuste.

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