Extrait du texte et vidéo : Tableau de famille



Pièce en deux actes, durée 1 h 45 minutes Cette pièce de théâtre comporte des combats d’escrime artistique, qui peuvent être supprimés, sans compromettre la logique de l’histoire.

 Synopsis :
C’est les vacances ! François rejoint son correspondant, Alistair Mc Gregor . En quête d’aventures et de sensations fortes, ils décident de partir quelques jours dans le vieux manoir abandonné de la famille Mc Gregor, en plein cœur des Highlands. Un séjour qui va s’avérer plein de rebondissements, de surprises et d’esprits farceurs, l’Écosse est fidèle à sa tradition ! ... Et quand tout ce petit monde se met à la recherche d’un trésor légendaire, certains par goût de l’aventure, et d’autres pour le repos de leur âme, il faut avoir les nerfs bien solides pour ne pas mourir de peur et surtout de rire !

 

Protagonistes : une femme, trois hommes et deux adolescents (modulable.)  Les rôles de François, Alistair et le majordome, peuvent être joués par des femmes.

Kathleen et Archibald Mac Gregor: Morts dans l’accident de train, ces fantômes ne peuvent rejoindre l’au-delà sans avoir retrouvé les bijoux de la famille.

Douglas:
Majordome de la famille, il meurt dans l’accident avec ses employeurs, frère de la femme de chambre de Kathleen et d’Archibald.

Alistair Mac Gregor:
Arrière, arrière, arrière-petit-neveu d’Archibald et de Kathleen.

François: Correspondant français d’Alistair.

 
Décors

Une grande pièce dans style manoir écossais abandonné.

Côté cour :
Une porte, un râtelier avec trois fleurets, une pendule,

Fond de scène : Une sortie côté cour et côté jardin (qui monte aux chambres). un tableau au dessus d’une cheminée.

Côté jardin :
Un Bureau, un fauteuil.

Alistair et François entre en scène avec des costumes du 21e siècle très abimés, pour se changer ils revêtiront les seules affaires disponibles dans le manoir, chemises blanches et kilts.

Kathleen, Archibald et Douglas seront habillés costumes 1800.


Extrait du texte.
(vous trouverez en bas de l'article une vidéo de cette comédie.)
 
 
 



Acte1 - scène1

Alistair : Qu’est-ce que tu fais encore ? Allez… Viens, dépêche-toi un peu ! Par saint Georges et Saint                 Patrick, nous avons plus de six heures de retard ! Le vieux Mac Henie qui a les clefs du              manoir doit être reparti chez lui. Tiens, c’est ouvert ? hou, hou ! Il y a quelqu’un ?.

François : Ça va, ça va, y a pas le feu au lac, j’arrive. Pas de ma faute, si nous sommes en retard… Ah                     ! Elle commence bien les vacances en Écosse ! Tu parles de ligne de chemin de fer ! Vous                         êtes tellement radin, vous les Écossais, je me demande si vous ne poussez pas le vice à                             rafistoler vos rails avec des bouts de ficelle récupérés sur des vieux kilts ?

Alistair : C’est ce que vous appelez de l’humour vous autres français ? Du troisième degré et encore !

François : Pfft !!!

Alistair : Quant à nos lignes de chemin de fer, elles valent bien les vôtres, même si tu prétends le                             contraire ?

François : Ben oui ! Sans problème, je prétends le contraire… Tu pourras le vérifier quand tu viendras                 chez moi. Des rails « tip top » que tu trouveras. Nickel chrome !

Alistair : Rien de surprenant ! Vous autres Français, passez votre temps à faire grève ! Facile dans ses                     conditions de garder des voies de chemin de fer en bon état…

François : Ah, ah, ah, très drôle !!! Ton humour écossais… Tellement drôle que je m’esclaffe trois fois                     par saccade de deux… Ah, ah… Ah, ah… Ah, ah !

En voix off, dans un porte voix : Ah, ah !

François : C’est quoi çà ?

Alistair : Peut-être une chouette !

Alistair : Excuse-moi François, mais cet accident de train m'a complètement chamboulé les neurones.

François : Non, Alistair c’est moi qui m’excuse, j’ai l’habitude de monter un peu trop vite aux                              créneaux, mon côté français certainement, et l’accident m’a fait dérailler le ciboulot à moi                      aussi.

Alistair : N’en parlons plus.

François : Oui, n’en parlons plus…

Tous deux se donnent une poignée de main à la jeune, deux poings, deux coudes, et deux tapes dans la main

François : N’empêche que vos lignes de chemin de fer sont belles et bien dans un piteux état !

Alistair : Il recommence !

François : Non, non je retire ce que je viens de dire ! Je ne voudrais surtout pas que tu te venges en                         appelant un fantôme et qu’il vienne ensuite me chatouiller les doigts de pied la nuit

Alistair :. Ne t’inquiète pas, il n’y a pas plus de fantôme dans ce château que de monstre dans le loch                     Ness ! Enfin normalement. (Redresse le tableau)

François : Comment ça, NORMALEMENT !!!

Alistair : Je plaisante… En attendant, si j’ai pu obtenir de mes parents, la permission de venir dans ce vieux manoir de famille, c’est pour nous y amuser un peu… Tu te rends compte François, enfin seuls sans avoir des adultes sur le dos ! A nous la liberté ..

François : Tout de même…quel dommage de ne pas être reçu par une gentille petite femme de chambre, avec une petite jupette toute mignonne…Un petit tablier blanc tout mignon… Un petit chemisier ouvert, tout mignon… Des petits pieds blottis dans de petits escarpins tout…

Alistair : Bon ça y est, la liste est terminée ! Vous autres Français, vous avez le cerveau greffé sur la braguette ! C’est tout de même étrange que le vieux Mac Henie ne nous ait pas attendus. (Réfléchis) Je sais bien que les habitants du hameau ont peur de venir jusqu’ici quand la nuit arrive, mais Mac Henie n’est pas le genre de bonhomme à écouter ces ragots, il n’y a aucune raison qu’il ne soit pas là !

François : Dis-moi Alistair ! pourquoi les gens n’aiment pas venir près de la maison ?

Alistair : Cela fait des années que plus personne de ma famille ne vit ici, et depuis on raconte une bien étrange légende, celle de mes ancêtres et de leur majordome qui hanteraient le domaine… Seul le vieux Mac Henie accepte de venir jusqu’ici.

François : (regarde autour de lui) En même temps, quand je vois l’état des lieux, je comprend pourquoi le vieux a pris la poudre d’escampette.

Alistair : Ah ! je sais ce qui s’est passé ! Il arrive à l’heure, attend dans sa voiture, écoute la radio et soudain… « Nous interrompons les programmes pour un flash spécial… Un accident vient de se produire à l’instant même où je vous parle. Le train en provenance de Londres a déraillé, nous ne pouvons dans l’état actuel des choses vous en dire plus, seule certitude, aucune victime n’est à déplorer, nous vous tiendrons informé…patati…patata»

François : On s’y croirait !!! Tu devrais faire du théâtre, je suis sûr que tu aurais du succès.

Alistair : Je ne suis pas certain que ce soit le moment de faire de l’esprit.

François : J’essayais simplement de détendre l’atmosphère.

Alistair : Et bien, c’est loupé mon vieux… Je peux continuer ?

François : Mais je vous en prie, Sherlock Holmes !

Alistair : Donc je reprends, il entend le message et décide tout simplement de rentrer chez lui pensant que nous sommes retenus sur le lieu de l’accident !

François : Ben mon vieux, voilà une enquête rondement menée.

Alistair : Je te propose de monter nous trouver une chambre et de nous débarbouiller.

François : Et gros malin… Tu es bien gentil, mais je te rappelle que mis à part les tenues que nous portons, nous n'avons rien d’autres à nous mettre ! Que nos valises sont restées coincées dans le wagon à bagages… Et mon petit doigt me dit que ce n’est pas demain la veille que nous allons pouvoir les récupérer !

Alistair : Haut les cœurs François, haut les cœurs ! Je suis sûr qu’il y a en haut tout ce qu’il faut pour nous changer !

François : Oh, sûrement ! simplement je redoute le pire… Si tes frusques sont aussi couleurs locales que cette bâtisse, ce sera sans moi !

Alistair : Les frusques ?

François : Oui des vêtements ! Des fringues, des nippes quoi !

Alistair : Décidément, j’ai du mal à me faire à ton Français.

François : (se dirige et regarde le tableau.) Eh ! Alistair ! C’est qui ça ?

Alistair : Les derniers de ma famille à avoir habité ce manoir, Kathleen et Archibald Mac Gregor.

François : Vu le tableau, ils ne sont pas tout frais les vieux. Pas de la dernière génération !

Alistair : Ce portrait à plus de 200 ans… Mais je te parlerais d’eux une autre fois (observe autour de lui) de toute façon, tu feras certainement leurs connaissances…

François : Tu veux me foutre les chocottes ! hein c’est ça ! Je ne sais pas si j’ai bien fait d’accepter ton invitation finalement, et ce pari ridicule de passer une semaine au fin fond de l’Écosse dans un manoir complètement délabré… Et hanté en plus, si je comprends bien !

Alistair : Ne me dis pas que tu as peur ? Laisse-moi rire… permet que je m’esclaffe à mon tour, deux fois par saccade de trois… Ah, ah, ah… Ah, ah, ah !

En voix off dans un porte voix : Ah, ah, ah !

François : Et la ! C’était quoi ?

Alistair : Un, un vieux hiboux certainement !

François : Mais c’est trois fois par saccade de deux, et non deux fois par saccade de trois… pfff. Bon, allez montons voir si nous trouvons tes reliques, inspecteur Barnaby !

Acte1 scène2

Archibald : Pas fâché d’être de retour à la maison…Mais avouez ma chère, que nous avons bien fait de répondre à l’invitation de nos homologues fantômes du château de Glamis. Belle aventure n’est-ce pas ? Quelle rigolade lorsque nous avons fait tourner le lit de ce couple de jeunes mariés français en pleine lune de miel. …(regarde le ciel) Par Saint Patrick et par Saint Georges que cela fut bon…

Kathleen : Cela n’amuse que vous ! Ah ! s’il n’y avait pas eu ce terrible accident de train ! Si au moins nous étions des revenants propres, non, pensez-vous, cela aurait été trop beau…Regardez un peu dans quel état est ma robe et mon chapeau ! Et je ne vous parle pas de mes chaussures…Des chaussures italiennes qui plus est..(Montre les chaussures à Archibald) Elles sont perdues, foutues, bonnes à mettre aux rebus… Alors, pour ce qui est de vos Saints, permettez-moi de vous dire que je m’en bas les dessous de dentelles de ma grand-mère !

Douglas : (en aparté) je n’ose imaginer le spectacle des dessous de la grand-mère !

Kathleen : (à Douglas) je ne me rappelle pas vous avoir parlé ! Vous ai-je demandé quelque chose ?

Douglas : Euh…Non, non ! Je ne crois pas ! si c’était le cas, je m’en souviendrais !!!

Archibald : Allons, allons ma chère amie, comme vous y allez…Avec vous c’est toujours la même chose…À chaque date anniversaire de notre terrible accident, vous ne cessez de vous plaindre de geindre, de…

Kathleen : (regarde Archibald avec colère.) De quoi ?

Archibald: De ? (A Douglas) Voilà un des traits que j’apprécie chez mon épouse c’est cette façon bien à elle de mordre la vie à pleines dents ! Enfin, mordre la vie… Façon de parler !

Douglas : Mordre la vie ! En espérant qu’elle n’est pas la rage !

Archibald : (à Kathleen) je veux simplement dire que vous me semblez, comme à chaque fois, avoir du tonus à revendre…

Kathleen : Entre nous il ne me semble pas que ce soit le cas pour tout le monde, si vous voyez ce que je veux dire !

Archibald : C’est de moi que vous parlez ? Vous savez très bien que je ne suis pas aussi expansif que vous ! pardonnez moi.

Douglas : (en aparté) ça c’est sûr qu’il ne risque pas d’avoir un infarctus du myocarde, je suis sûr qu’à l’école, on l’appelait « deux de tension ».

Archibald : Vous dîtes ?

Kathleen : Oui ! Que dîtes-vous ?

Douglas : heu !!! Rien, rien… Enfin rien de particulier, quoi !

À ce moment un fantôme d’une autre époque traverse la pièce


Le Fantôme N°1 : C’est bien ce que je pensais… encore eux ? Décidément, cela va être encore la foire, 200 cents ans que cela dur. Ah là, là ! (sort de scène)

Kathleen : Quoi, la, la ?

Archibald : Quoi, la, la ?

Kathleen : Ce n’est pas à vous que je parle (désigne du menton Douglas,) mais à lui ! Quoi, quoi ! Pourquoi dîtes-vous quoi ?

Douglas : Je n’ai pas dit quoi ! Vous, vous avez dit quoi, et pourquoi quoi ! Je n’en sais fichtre rien ?

Kathleen: Ah la, la ! comment pouvez-vous prétendre que j’ai dit : « quoi », alors que vous ne pouvez nier n’avoir dit « rien » !

Archibald : Je vous en prie, restons calme, vous savez très bien que de toute façon cela ne changera rien à l’affaire.

Kathleen : Comment voulez-vous que je garde mon calme ! (Regarde ses affaires) Regardez, mais regardez donc !

Extraits vidéo
N'hésitez pas à me contacter pour recevoir l'intégralité du texte ou des renseignements sur cette pièce de théâtre à : ericgarandeau@orange.fr


Extrait du texte et vidéo de. Maison à vendre.


 

 

Constant, p’tit père tranquille ne tient pas du tout à quitter sa demeure pour finir ses jours dans une maison de retraite. C’est pourtant ce que souhaiterait, Thérèse sa fille unique, qui verrait là un bon moyen de récupérer une partie de la vente de la maison pour assurer ses dépenses personnelles. La confrontation de ses deux personnages finit par déclencher des situations des plus rocambolesques et surtout des plus inattendues

 


 

 

 Le décor
L'avant- scène
Côté jardin l’entrée d’une remise. Côté cour. Celle d’une cave.
Divers objets peuvent être disposés, vieille chaise, vieilles caisses en bois, un puits, échelle en bois etc.

Sur scène
Le décor principal représentera l’intérieur d’un très vieux salon qui aurait subit
quelques timides transformations au fil des siècles.

Coté jardin
Une porte / un meuble bas sans fond / un retour montrant l’ouverture d’une cuisine
Fond de scène
Un tableau (représentant un pirate)/ un sabre / une fenêtre / un passage pour marquer
la sortie principale du salon.
Coté, Cour
Une bibliothèque pivotante / une cheminée / un meuble bar sans fond.

Une table.
Deux chaises (une sera reliée à un fil de nylon).
Un sac de sport (relié à un fil de nylon).
Un pot de fleurs (en plastique relié à un fil de nylon)
Un meuble bas (munie d’un double fond)
Une épée à large lame.
Une lampe de chevet posée sur le meuble.
Une porte.
Un pendule.
Un tableau représentant un pirate
Une fenêtre qui donne sur l’extérieur
Une bibliothèque (ouvrant sur un passage secret)
Une cheminée
Un fauteuil.
Une table.
Un appareil photo.
Une toque de chef
Un meuble-bar.
Un téléphone.
Un éclairage au plafonnier.
Deux bouteilles de rhum.
Une petite caisse à outils.
Un sachet en papier.
Deux ampoules.
Une araignée fictive (reliée à un fil de nylon).
Un paravent.
Un petit escabeau.
Un plat avec des madeleines.
Quelques photos.
Une vieille mobylette (ou un vélo)
Quelques graviers
Une épuisette.
Le sac à Hubert, la chaise et le pot de fleurs peuvent aussi bien être déplacés manuellement par Gontran le ténébreux ou à l'aide d'un fil de nylon tiré en coulisse par un machiniste.

Les personnages
Constant (le père) : (p'tit père tranquille). A bien du mal à gérer le tempérament volcanique de sa fille.

Thérèse (la fille) : (belle garce et panier percé). A la fâcheuse tendance à péter plus haut que son derrière, veut vendre la maison, récupérer la part de sa mère et mettre son père en maison de retraite.

Hubert Pigouille (le comédien) : (gentil) toujours à la recherche d’un contrat

Gontrand le ténébreux (le Fantôme): (farceur) est tiré de sa léthargie par la lecture d'un parchemin.

Gaspard: (gigolo). Amant de Thérèse se laisse influencer par celle-ci pour fomenter un complot contre Constant 

Les costumes et accessoires

Constant : pantalon en velours / chemise assez colorée / un nœud papillon/ Un petit gilet / Une paire de babouches/ Une montre à gousset.
Thérèse : un ensemble très coco Chanel / un chignon année 1960.
Hubert : arrive en costume cool et revêt un piètre déguisement de pirate / un agenda de papier.
Le ténébreux : en costume de pirate / un sabre (en plastique de loin, cela fera très bien l'affaire)
Gaspard : costume trois pièces de jeune apprenti macro. Avec un petit foulard.

 

 

Extrait du texte
(Vous trouverez en bas de l'article une vidéo de cette comédie.)


 

Acte 1 scène 1
Le rideau s’ouvre , Constant, muni d’une bombe insecticide inspecte le mobilier.
Constant : tiens, encore là ! Et encore ici ! (donne des coups de bombe) Décidément, je n’arriverai pas à me défaire de ces saloperies ! Maudites bestioles, j’ai beau traiter, et retraiter le bois, il y en a toujours qui arrivent à passer au travers des mailles du filet, maudit parasite (donne un coup de bombe de façon énergique)
Coup de sonnette à la porte.
Thérèse : (en voix off) hou, hou père ! C’est moi ! « Thérèse »
Constant : tiens ! Lorsque l’on parle de parasite et de nuisible ! En voilà justement un beau spécimen.

Acte 1 scène 2

Thérèse : (entre dans la pièce et commence à débiter son monologue) bonjour père… Alors comment vous portez-vous aujourd’hui ? Bien ? (ôte son manteau et le pose sur une chaise) .Pas trop de surmenage, j’espère ! Votre santé est tellement fragile en ce moment. (tout en faisant le tour et en examinant Constant)

Constant : as-tu peur de me biser ? Je n’ai pas la gale.

Thérèse : (l’embrasse sur la joue juste du bout des lèvres) ah oui, voilà! Mais c’est quoi cette odeur ? Comment pouvez-vous supporter cela ?

Constant : dis donc ! Tu n’as pas un peu fini ! C’est l’odeur du pesticide et non celle de ton vieux père que tu sens. Quant à ma santé, je suis ravi qu’elle te préoccupe.

Thérèse : vous en doutiez ? Comment pouvez-vous! Enfin père !

Constant : (nargue sa fille) Enfin père ! Enfin père… Vas-tu cesser de me vouvoyer !C’est quoi cette dernière lubie ? Encore une idée de ton mari Edmond, certainement.

Thérèse : je ne vois pas ce qu’Edmond vient faire dans cette conversation? Tiens d’ailleurs, Edmond vous souhaite le bonjour.

Constant : tu sais où il peut le mettre son bonjour !

Thérèse : c’est malin. (mets un châle sur ses épaules) Brrr ! (regarde partout)

Constant : « TU » cherches quelque chose ?

Thérèse : je me demande d’où peut bien provenir ce courant d’air ? Il me glace le sang.

Constant : moi, je ne ressens rien… (en aparté) À part toi qui me pompes l’air.

Thérèse : comment ? Vous… (Se reprend) Tu m’as parlé.

Constant : comment ? (marque un temps) Quoi ? Tu (marque un temps) vous… Non.

Thérèse : (en aparté) j’ai bien compris que je te pompais l’air ! Je ne suis pas aussi sourde que toi vieille peau ! (en aparté) Ne t’inquiètes pas espèce de dinosaure ! Bientôt, c’est toi qui vas dégager. Du vent, de l’air montgolfière décrépite, bon débarras. (regarde le tableau) Ah et puis cette vieille relique qui me donne froid dans le dos. (prends un morceau de tissu et recouvre le tableau) Tiens, caché, espèce de figure de peau de fesse.

Constant : (en aparté) tu veux me mettre au rebut Vipère ! Tiens bon, je te prépare une petite surprise ! Dis donc Thérèse, tu es venue ici pour refaire la déco ou pour prendre des nouvelles de ton pauvre père ?

Thérèse : (sort un prospectus de son sac et prend un air de petite fille) figure-toi que, l’autre jour, je passais par pur hasard, devant le bureau de l’aide sociale et regarde ce que j’aperçois, un prospectus ventant les vertus de cette merveilleuse résidence pour les seniors. (tend le prospectus à Constant)

Constant : tu appelles cela une résidence ? Pour moi, ce n’est qu’une déchetterie spécialisée pour les vieux modèles de l’espèce humaine ! Et en plus avec un nom pareil « Résidence des Pissenlits » pourquoi pas celle des chrysanthèmes ?

Thérèse : tu as toujours le don de l’exagération !

Constant : et toi celui de la bêtise. Tu me vois quitter mes livres, mes meubles, pour un vivarium qui pue l'urine et l’eau de javel ?

Thérèse : tu y seras toujours beaucoup mieux que dans ce taudis rempli de courant d’air et de toiles d’araignée.

Constant : arrête, tu m’énerves. Continue comme çà et tu vas finir pas me provoquer une crise cardiaque !

Thérèse : (en aparté) si ça pouvait être vrai !
Constant : comment ?

Thérèse : rien, rien tout de même père ! Si tu ne veux pas faire de travaux dans cette maison, tu vas finir par attraper la mort ! (prend une madeleine qui est dans un plat sur la table)

Constant : serait-ce un souhait ? Et puis arrête de manger mes madeleines.

Thérèse : eh ! Ça va bien, tu n’as qu’à pas les mettre sous mon nez, tu sais que j’adore çà !

Constant : pour faire des travaux, il faut de l’argent, et de l’argent, je n’en ai pas ! À moins que ma fille et mon gendre aient, dans un élan de générosité, l’intention de m’avancer de quoi financer les travaux.

Thérèse : (en aparté) alors là ! Compte là-dessus et bois de l’eau. (à Constant) Il y a bien le trésor.

Constant : le trésor ?

Thérèse : eh bien oui, la cassette remplie d’or ! Celle que l’autre tordu du tableau a caché dans la cave de cette maison. Et ne me dis pas que tu ne l’as pas trouvé, je ne te croirais pas.

Constant : ah ! Ah, ah ! Tu parles de cette vieille légende de famille, mais ma pauvre fille que tu peux être naïve. Jamais ce trésor n’a existé.

Thérèse : Mouais, çà, c’est toi qui le dis. (en aparté) Je suis sûre qu’il me ment, mais je finirais bien par mettre la main dessus.

Constant : alors là, que tu me croies ou non, je m’en tamponne le coquillard. Et puis j’y suis bien moi, dans ma maison, c’est comme si chaque pierre, chaque morceau de bois me parlait !

Thérèse : n’importe quoi.

Constant : tiens ! En parlant de bois !

Thérèse : oui !

Constant : tu pourras dire à ton mari que je lui serais bien reconnaissant de vouloir s’occuper de l’approvisionnement du bois pour la cheminée et si possible, avant la fin de l’hiver !

Thérèse : père ! Si tu savais.

Constant : (en aparté) je sens qu’elle va encore me sortir une excuse à deux balles.

Thérèse : mon pauvre Edmond est tellement submergé de travail en ce moment, c’est tout juste s’il trouve le temps d’embrasser ses enfants le soir…

Constant : (en aparté) tiens, qu’est-ce que je disais ! (à Thérèse) En attendant, il a bien trouvé le temps d’empocher le chèque prévu pour payer mon bois de chauffage, la location du camion pour le transport et le plein de gas-oil. (fini en colère)

Thérèse : allons, calme-toi ! Pense un peu à ton cœur.

Constant : parce que tu te soucies de mon cœur à présent ?

Thérèse : tu as l’air d’être en forme !

Constant : non seulement, j’ai l’air, mais j’ai aussi la chanson.

Thérèse : et à quoi doit-on cela ?

Constant : figure-toi que la semaine dernière, je me suis inscrit au club d’Aiki jutsu

Thérèse : toi ...faire du karaté ?

Constant : pourquoi pas !

Thérèse : (en aparté) voilà qui pourrait arranger mes affaires, un accident cardiovasculaire est si vite arrivé ! (à Constant) Et quand ont lieu tes séances de karaté ?

Constant : d’Aiki-jutsu, le mardi et jeudi soir, pourquoi ? Ne me dis pas que tu veux en faire ?

Thérèse : très peu pour moi et puis, je ne suis pas en retraite, moi !

Constant : parce que tu travailles maintenant ? Première nouvelle !

Thérèse : l’ouvrage à la maison ne compte pas peut-être !

Constant : quel ouvrage ? Ton mari est parti toute la semaine en déplacement, tes enfants sont en pension, et pour ce qui est du ménage, tu m’as dit toi-même qu’une femme venait quatre fois dans la semaine !

Thérèse : et alors, j’ai d’autres activités, figure-toi !

Constant : je serais curieux de savoir lesquelles ?

Thérèse : des réunions littéraires figure toi (prend son manteau et regarde la pendule) d’ailleurs si je ne me sauve pas maintenant, je vais finir par être en retard.

Constant : réunion littéraire ? Laisse-moi rire ! Déjà que tu as du mal à comprendre les rébus du Mickey magazine.

Thérèse : (reviens sur ses pas) très drôle. Et c’est à quelle heure exactement tes cours de (fais quelques mouvements) Singerie asiatique ?

Constant : de 18 h 30 à 20 h 30, pourquoi ?

Thérèse : oh ! Rien, juste pour information. (quitte la scène,) (En coulisse.) Et fait attention à ton cœur. (insiste sur le bisou) « Bisou » père.

Constant : (moqueur) oui, oui, c’est ça ! « Bisou » (s’assure que sa fille est bien partie). Je sais bien qu’elle, et son « Edmond » veulent m’éjecter à la maison pour les vieux croûtons et avoir les mains libres pour vendre cette maison. Mais rira bien, qui rira le dernier, vous n’aurez rien de ma couenne bande de sangsues. Tu vas voir ! Tiens justement, il est grand temps que je téléphone à cette agence de comédiens.
(cherche le papier où est noté le numéro de l'agence) Je suis pourtant, bien sûr, d’avoir vu ce numéro de téléphone quelque part ? Avec un nom pareil ! J’ai tellement rit en le lisant, que j’ai bien failli en pisser ma pleine culotte. Le voilà (compose le numéro) Allô, je suis bien à l’agence de « Direction Universelle Certifiée Œuvre Nationale » ? Vous êtes le responsable de l’agence D.U.C.O.N ? Oui ! Très bien, voilà, je voudrais faire une surprise à ma fille et…

Noir sur scène.

Acte 1 scène 3

Hubert arrive en fond de scène avec une vieille mobylette (ou en vélo).

Hubert : hou, hou ! Il y a quelqu'un ?

Constant : (regarde sa montre à gousset) quinze minutes de retard. Voilà qui commence bien ! (se dirige vers la porte de la remise et ouvre la porte) Par ici, par ici, première porte en haut de l’escalier.

Hubert : (entre et se prend les pieds dans le tapis). Ah ! Merde !

Constant : c’est ce qui s’appelle faire une entrée fracassante.


Extraits vidéo.
N'hésitez pas à me contacter pour recevoir la totalité du texte ou pour avoir plus de renseignements sur cette pièce de théâtre à : ericgarandeau@orange.fr



............................................les maquettes.................................



Ou
Ma quette pour le bon déroulement d'une mise en scène.

Premièrement, et ce, avant que toutes remarquent ne puisse définir le début d’un chamboulement sur le commencement d’un nouvel ordre des choses prêtes établies (de menuisier) par la personne qui lance cette chronique ! Je veux parler de moi-même.Il est important de bien savoir où vont être placé les éléments qui composeront le décor de votre future pièce de théâtre … Pour cela un moyen très simple, réalisé une maquette et la confection de divers petits objets représentant votre futur décor. Le tout peut-être facile et peu coûteux. …( je dis cela pour rassurer les présidents de troupe de théâtre) pour les artistes en herbes du bord de mer, évitez de confectionner votre maquette en sable et pour les boulangers montagnards, en pain de glace, le tout très joli sur le moment, mais qui aurait bien du mal à conserver l’aspect original dans le temps.

Ce magma de cartonadoplasticodomingo, aura plusieurs fonctions tout au long de la préparation de la pièce, et non des moindres. Moult personnes porteront ou feindront de porter un intérêt à chaque détail.
De vôtre…
De vôtre !!!
De vôtre ???

Appelons la chose, « Maquette » pour ne pas froisser la susceptibilité de certaine personne don la physiologie intellectuelle ne dépasse pas celle d’un bulot * échouer sur une plage de l’atlantique après une marée de 110 un jour où d’ailleurs et d’ici il faisait nuit.
 * Bulot: mollusque à la coquille hélicoïdale.
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acte1 scène1

Commençons par le commencement et débutons par l’essentiel sans toutefois tergiversé dans les méandres de propos alambiqué qui pourrait fossé les banquettes arrière d'une deux-chevaux et surtout nous emmené vers des propos qui ne serait point fluides, ce qui, je vous assure tout de suite, n’ai pas le genre de la maison.
Les avantages d'une maquette sont énormes pour ne pas dire....
Comme c'est pour ne pas dire, je ne le dis pas.  

Les décorateurs : Pourrons maîtriser l’espace et jouer avec les perspectives des éléments décoratifs, choisir la ou les couleurs de ceux-ci. 
Le metteur en scène : Elle lui permettra le déplacement de ses acteurs à l’avance (même s’il sait pertinemment que ceux-ci n’en feront qu’à leurs têtes les jours de représentations)

l’ingénieur lumière : commencer à réfléchir sur les angles d’éclairages possibles (même si celui que vous avez recruté pour remplir cet office n’a n'y le qualificatif n'y dénomination que vous lui avez trouvée pour l’occasion)

L’ingénieur son: L’ingénieur du son ? Pour tout vous dire, là est bien le bémol, la fausse note, la portée qu’y manquait à la meute du maître au gnome, la pause après un triolet de soupirs. Lorsque j’y réfléchis, que ce soit à deux fois, voire trois! L’ingénieur du son et bien il s’en fout complètement et croyez bien… Comme de son premier bécard ( plusieurs Bécaux, s'il y en a plusieurs.)
Rectification: Pour les décors assez chiadés il est possible que certains acteurs lors d'un déplacement soient obligés d'entamer un dialogue dans le recoin du décor. Pour qu'il soit bien entendu, il est important quel'ingénieur son sache où placer ses micros.

Les acteurs : Ah !!! Les stars du moment, les immortels mollassons du ciboulot qui le temps d’une représentation deviennent plus glorieux que Cicéron et plus vaniteux que des  Cirssé carrés. 
Bref!
La maquette leur permettra tout au long de leurs répétitions de mieux visionner l’endroit où ils évolueront, si tenter qu'ils y parviennent bien sûr.  Quelques photos de la maquette prises sous divers angles suffiront n’allez surtout pas confectionner une maquette pour chaque acteur… Dites non à cela ! Halte aux feux ! Faites fis de leurs caprices !

Les mécènes : Dieu vivant qui, par un simple regard, un minuscule mouvement des lèvres font devenir carpette les plus rustres des habillés de grosse toile que nous sommes. À ce moment horrible ou, il nous faut monter aux fronts, suant sang et gouttes pour obtenir de minuscules, mais ô combien précieux, deniers.  
Commercialement parlant, présenter à vos éventuels sponsors, une vision concrète et bien structurée de votre projet dans la pars fin de ne pas décourager les généreux donateurs, évité de présenté la maquette d’un projet trop ambitieux…ex… 
La remonté de l’Himalaya par la face nord, d'un escadron d’escargots tout juste débarquer de Bourgogne et prêts à chassés des petits gris tibétains venus se réfugier à Lhassa dans l'idée de fuir des idées noires.
Ou;
Représenter une scène de la vie animale correspondant à la copulation des grenouilles grise dans le Périgord vert en période de sécheresse.
   
Vous l’aurez compris, fait simple.
Maintenant, passons à la pratique.

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La structure.


Pour commencer votre œuvre d'art, découpez vos panneaux dans une plaque de polystyrène extrudé.
Comme ici:
                                                                              Du contre-plaqué comme cela:
         Un carton épais:

 Ou tout autre matériau facilement dé-coupable... Ou innocent
Inutile de préciser que votre maquette sera à une échelle de 1/20 ou 1/50 ou 1/100 ex…… Et non, grandeur nature. 
Nous ne sommes pas dans les ateliers du Puy-du-Fou en Vendée.


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Les multitudes épaisseurs de polystyrènes extrudés vendus dans le commerce permettent de trouver celle correspondante à l’épaisseur de vos panneaux (à une queue de vaches prés … Pas trop près non plus, étant donné que sous la queue de la vache surgit parfois des éléments perturbateurs à la bonne vision des choses antérieure, mais surtout postérieure, quoique l’avenir à ce stade-là reste toujours obstrué, et ce, de façon irrémédiable une fois que l'on a eu le nez dessus.
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Après avoir matérialisé la grandeur de votre scène sur un morceau de contre-plaqué ou un carton rigide, disposé vos panneaux puis collé les entres eux par de petites pointes de col glu, je déconseille vivement le néoprène pour les structures en polystyrène extrudé, il a les mêmes facultés que l’impôt sur le revenue, il les fera fondre comme beurre et loukoums au soleil .
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Une fois les éléments fixés, ajouter des pièces correspondantes aux mobiliers de la pièce choisis. Les miniatures pour les maisons de poupées feront très bien l’affaire.N’hésitez pas à  subtiliser celles qui se trouvent dans la chambre de votre petite nièce ou de votre petite sœur.


   
Si elles s’empressent de crier aux scandales, d'ameuter toute la cellule familiale, gueuler comme des damnées crier au vol à l’assassin et vous affubler de tout une collection de nom d’oiseaux, restez calme et serein ! cui-cui! 
Répondrez à cela:
 « Que le spectacle continu »



Toutefois, sans craindre les maux d’estomacs, ayez à cœur de les confectionner vous-même, de vos petites mimines, car les petits objets dont vous aurez été contraint et forcé de rendre à leurs pseudo propriétaire, obligé, menacé que vous ne fûtes (à bec) par des êtres qui ne comprennent rien au théâtre, pourront être fabriqué avec des matériaux comme allumettes, petite chute de bois, épingles à linge, polystyrène et pour les plus téméraires des bloques de béton armé!
Bien sûr là, je rivière; je cours d'eau; je rigole.

 Une table réalisée avec des épingles à linge.

 Un fauteuil en polyester.
Une poubelle en carton.
Deux repose-pieds en petit bois. 

 Une table et un tabouret en polyester.

Etc.
 Une fois votre maquette réalisée, vos outils rangés, l’atelier balayé et vos verres rincés, car je ne doute pas un seul instant qu’une fois que vous aurez assemblé votre magma de carton, contre plaqué, plâtre, polystyrène ou tout autre matériau choisi, vous-vous pavanerez devant votre maquette, tel un jeune coq dans sa basse-cour, ce gaussant et piaillant à qui veux bien l’entendre « C’est moi qui l’ai fait ».

Espèce de crâneur !

Mais fini les blabla et autres déblatérations allégoriques sur les petits détails qui feront certes les fondations de vos projets « employons un pléonasme alternatif et courant » un projet futur ! 
Passons de la pratique, au concret, au réalisme, à cette matière que l’on veut dompter, apprivoiser, dresser, et patati et patata, place à la démonstration.
Quelque petit exemple de maquette et du décor tel que le spectateur, devant des yeux ébahis, a pus admirer.

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 "Qui à tué A.F?"
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" L'auberge de la gorge du boucher"

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"Ô! Mon dieu,mon Dieu!"
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"Tableau de famille"
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"Ce bon vieux D'Jim"

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"Le mystère du sarcophage."




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"Désolé nous ne jouerons pas ce soir!"

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"La farce de dame Bertille"

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Maison à vendre. Enfin presque!
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 Voilà! Comme vous pourrez le constater, toit çà se n'est pas une mince affaire à faire, mais cela facilite tellement la préparation d'une pièce de théâtre. J'espère que cet article vous permettra de réaliser plus sereinement votre prochain spectacle.
Théâtralement vôtre.