Loin
des modèles du style
Empire
lancé
par la célèbre couturière Jeanne Paquin (Jeanne Beckers 1869 –
1936)
Des
robes très victoriennes
de Charles Frederick Worth (1825 - 1895)
L'héroïne
de la pièce de théâtre « Qui
a tué A.F. ? » porte
un modèle inspiré de la couturière Louise Chéruit (Louise Lemaire
1866 – 1955)
Sans
trop de dentelles et autre froufrou. Il n'était pas rare de croiser
ce modèle sur les plages des Sables-d'Olonne en 1900.
Les Dames fortunées se paraient de magnifiques robes de bal ou de réception qui rivalisait toutes de grâce et de beauté. En voici quelques modèles exposés dans le magnifique château d'Ussé à Rigny-Ussé, en Indre-et-Loire. Connu aussi comme étant "Le château de la belle au bois dormant"
"Ah! Que vous étiez belles mesdames, lorsque vous glissiez, telles des nymphes sur l'océan de nos envies masculines. Parée de vos plus beaux atouts ornés de soie de Lyon, de vos nuages faits de mousselines et autres perles de beautés, chassant le gris de nos mornes pensées à grand coup d’éventails en phones de plumes d'autruche."
E.G
Photo prise au château d'Ussé |
Photo prise au château d'Ussé |
Photo prise au château d'Ussé |
Photo prise au château d'Ussé |
Photo prise au château d'Ussé |
Photo prise au château d'Ussé |
Photo prise au château d'Ussé |
Photo prise au château d'Ussé |
Photo prise au château d'Ussé |
Photo prise au château d'Ussé |
Cela n'est qu'une infime partie de toutes les magnifiques choses à découvrir dans ce merveilleux château qui inspira Charles Perrault pour l'écriture de " La Belle au bois dormant"
La
petite histoire :
Encore
sous l'emprise du corset en 1910, bien que diminué dans sa hauteur,
cet
article féminin n'en demeure pas moins un objet de torture. Lors
de la Première
Guerre
mondiale,
la fabrication des corsets à baleine en acier fut arrêtée
aux
États-Unis,
trop consommatrice en acier. Il faudra attendre les années
30 pour qu'ils disparaissent au profit des gaines élastiques.
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